Le grand voyage des Marcazzan

Le grand voyage de Mario, Emilie, Baptiste et Elisa ...

Au commencement, ce fut un abonnement cadeau à voile et voilier (merci à Laurent Cohen) qui nous fit même songer à l’acquisition d’un bateau. Au final nous avons été raisonnables et ce fut la maison en Normandie…ce n’était que partie remise. D’autant plus qu’en Normandie, nous nous étions inscrits au club nautique Veulais. Le feu couvait sous la cendre.

De fil en image, de salon nautique en salon et de sorties avec le club nautique valériquais en rincette, nous avons fini par troquer nos semaines de location en villa corse par des semaines de location en monocoque (merci à Midi Nautisme).

Mais la tentation dans les pages d’ « Histoires de partir » a été trop forte…Pourquoi les autres et pourquoi pas nous ?

mardi 2 août 2011

Les vacances de Baptiste /5 : Carriacou





























Nous aborderons Carriacou par l’est et la côte au vent : mouillage tranquille dans le lagon de Windward, superbe mouillage, nous sommes quasi seuls dans la baie. Windward est un village paisible avec quelques échoppes, un coiffeur, une discothèque et des bars. Nous croisons des rasta aux regards allumés et nous refusons leurs proposition d’approvisionnement… Windward est un village de pécheurs mais recèle aussi un savoir faire de construction navale ! Nous profitons de cette halte pour prendre un taxico et faire les courses à Hillsborough. Cette petite île de 7000 habitants est restée fidèle à elle-même et dans son jus. Nous achetons aux pêcheurs de la carangue qui nous nourrira deux repas pour la même somme que trois petits vivaneaux aux Tobagos. Un peu d’internet permet à Baptiste de rester en ligne avec son monde et d’afficher de très satisfaisants résultats au brevet avec mention assez bien sur son mur facebook!
Un dernier mouillage au sud, vers White Island, mouillage rock and roll avec un courant de trois nœuds et deux reverses par 24h00. La vaisselle mise à sécher sur la table dégringolera au milieu de la nuit, sans casse mais avec fracas. Quelle nuit ! Mais c’est un mouillage sauvage, très beau et solitaire…qui se mérite donc.
Bye, bye les Grenadines : nous avons cette fois pu profiter de cet archipel avec plus de temps que l’an dernier lors de notre descente vers le Venezuela. Beaucoup de bateaux malgré la saison cyclonique, mais un charme certain et toujours la possibilité de trouver, en cherchant bien, des mouillages tranquilles hors des sentiers battus…

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