Nous arrivons à Statia, à l’unique mouillage près de la capitale après une navigation rapide au près sous deux ris et trinquette, ah non ! Nous ne sommes pas un 60 pieds de course (d’ailleurs pour eux nos 8 / 9 nœuds c’est de l’allure d’escargot) et nous n’avons pas de trinquette, donc génois enroulé format «mouchoir». Elisa àla barre se régale dans plus de 25 noeuds de vents et une bonne houle de 2 m, frustrée parce que elle arrive à faire monter Wahoo à 9,9 noeuds mais pas à 10... jusqu'au moment où une lame brise juste au niveau du poste de barre... Douche froide complète !A l’arrivée le moteur tribord cale dès qu’on embraie, tandis qu’il marche régulièrement au point mort : bizarre… C’est la drisse de la grand-voile qui est subrepticement tombée à l’eau et est allée s’entortiller autour de l’hélice ! Nous ne pouvons pas affaler, donc nous mouillons en gardant la voile et me voilà bon pour une plongée impromptue afin de remettre de l’ordre : heureusement le cas n’est pas trop critique.
Les rires des enfants nous accueillent à la plage de sable noir car c’est samedi après midi. La ville est endormie, les magasins fermés et les «monuments déserts». Nous visiterons seuls le fort, l’église réformée et la maison du gouverneur avant de prendre nos mails au «glacier du coin». Une mauvaise nouvelle nous attend : notre chatte, Nuage, a eu un accident de voiture et risque l’amputation. Elle est à la clinique. C’est Nancy, une amie qui s’en occupe et nous rentrons vite au bateau pour l’appeler et la remercier de s’occuper de notre petite bête à poil en notre absence ! Pour nous remonter le moral, nous allons profiter du coucher de soleil à la terrasse d’un bel exemple de rénovation
« The Old Gin Cottage » avec une bande son, digne du dernier lounge bar de Milan ! Seul Baptiste aurait su nous donner les titres mais en ce moment, il profite des plaisirs de la glisse à Méribel avec ses cousines. Je suis sûre qu’il a droit lui aussi à une bande son au bar d’altitude…
Nous repartons de Oranjestaadt avec une nouvelle acquisition : une magnifique FRITE «noodle» pour les américains, baptisée « ma poule » par Elisa qui lui permet de faire le cheval dans la mer…
Les rires des enfants nous accueillent à la plage de sable noir car c’est samedi après midi. La ville est endormie, les magasins fermés et les «monuments déserts». Nous visiterons seuls le fort, l’église réformée et la maison du gouverneur avant de prendre nos mails au «glacier du coin». Une mauvaise nouvelle nous attend : notre chatte, Nuage, a eu un accident de voiture et risque l’amputation. Elle est à la clinique. C’est Nancy, une amie qui s’en occupe et nous rentrons vite au bateau pour l’appeler et la remercier de s’occuper de notre petite bête à poil en notre absence ! Pour nous remonter le moral, nous allons profiter du coucher de soleil à la terrasse d’un bel exemple de rénovation
« The Old Gin Cottage » avec une bande son, digne du dernier lounge bar de Milan ! Seul Baptiste aurait su nous donner les titres mais en ce moment, il profite des plaisirs de la glisse à Méribel avec ses cousines. Je suis sûre qu’il a droit lui aussi à une bande son au bar d’altitude…
Nous repartons de Oranjestaadt avec une nouvelle acquisition : une magnifique FRITE «noodle» pour les américains, baptisée « ma poule » par Elisa qui lui permet de faire le cheval dans la mer…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire