Le grand voyage des Marcazzan

Le grand voyage de Mario, Emilie, Baptiste et Elisa ...

Au commencement, ce fut un abonnement cadeau à voile et voilier (merci à Laurent Cohen) qui nous fit même songer à l’acquisition d’un bateau. Au final nous avons été raisonnables et ce fut la maison en Normandie…ce n’était que partie remise. D’autant plus qu’en Normandie, nous nous étions inscrits au club nautique Veulais. Le feu couvait sous la cendre.

De fil en image, de salon nautique en salon et de sorties avec le club nautique valériquais en rincette, nous avons fini par troquer nos semaines de location en villa corse par des semaines de location en monocoque (merci à Midi Nautisme).

Mais la tentation dans les pages d’ « Histoires de partir » a été trop forte…Pourquoi les autres et pourquoi pas nous ?

lundi 7 février 2011

Antigua - Great Bird Island


















North Sound, déjà le nom, puis la carte (des cayes, des patates de corail partout), ensuite le Patuelli (la bible de la navigation aux Petites Antilles) qui le classe parmi un des plus beaux mouillages de l’île nous incitent à lever l’ancre et à partir explorer le reef nord de l’île d’Antigua. Forts de notre expérience des Roques (des cartes, du GPS et de la météo), nous tentons une approche du large par le nord au travers de la barrière de corail. Avec le capitaine à la barre, la capitaine au GPS et le mousse aux lunettes polarisées en proue, nous pénétrons dans cette immense espace et nous négocions les cayes , le souffle retenu mais avec brio !... S’en suit une vive discussion entre le et la capitaine à propos du virtuel et de la réalité ou naviguer au GPS et naviguer à vue… Finalement nous mouillons à Great Bird Island, petit confetti au bord de la barrière de corail. Nous serons deux bateaux au mouillage la nuit mais la journée, l’île reçoit la visite des dayboats des hôtels des environs. Heureusement que ces touristes sont en pension complète et nous laisserons donc la plage déserte pour un pique nique du déjeuner improvisé. Ensuite ballade au sein de l’île au milieu des cactus à la grande joie d’Elisa qui adore explorer ! Nous remarquons les traces de la protection de l’environnement prise en charge par une ONG Américaine : système d’arrosage pour les bébé palmiers et pièges pour les rongeurs qui menacent la nidification de la nombreuse colonie d’oiseaux qui donne son nom à l’île. Nous retrouvons le goût des îles du venez mais nous avons envie de reprendre la route vers Barbuda.

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