Notre premier contact avec Barbuda après quelques heures d’une belle navigation à la voile avec un vent d’est, une houle de travers (un petit moment de solitude quand même quand la drisse de grand voile s'est bloquée avec la voile à 1 ris qui ne voulait plus ni monter ni descendre...), c’est Spanish Point et la « plage blanche ». C’est le dernier mouillage avant la barrière de corail sur laquelle toute la nuit les pêcheurs de Barbuda chercheront la langouste et bien sûr la trouveront…Barbuda est une île préservée, à l’écart des routes de navigation. Une entreprise avait obtenu des autorités d’Antigua dont dépend Barbuda, un permis de construire un magnifique resort sur cette plage. Mais les 1600 habitants de Barbuda ne l’entendaient pas de cette oreille et sont venus détruire les baraques de chantier…Le projet a donc été abandonné et tant mieux pour nous ! Nous installons notre routine quotidienne sur cette île : le matin : Cned (avec une nouvelle chanson pour l’évaluation de musique - Elisa s’entraine pour la Star Ac !), entretien du bateau pour les parents et internet pour tous. L’après midi ; ballade, plage ou snorkeling et une excellente session de windsurf pour Mario…L’île est pleine de chevaux et d’ânes dont nous ne verrons que les traces odorantes…sur les pistes. Nous partirons le surlendemain vers Cocoa Point , autre mouillage de Barbuda.Barbuda sera vraiment le lieu de rencontre des batocopains car c’est une ile que l’on quitte difficilement. On a envie de s’en imprégner longuement. Bijou de plage, mer turquoise, sable blanc et solitude. Les pêcheurs nous ayant apporté aux bateaux du poisson et des langoustes, c’est par un immense BBQ que les équipages de « Falco, Fayal et Wahoo » termineront leur séjour à Cocoa Point avant de se diriger vers Low bay, toujours à Barbuda.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire